proposition de rédéfinition du paysage par les moyens de l'habiter et de mieux le vivre de manière commune.
Le Paysage est le résultat d'une multitude d'activités et d'actions qui permettent de structurer le bien vivre
Agrégation necessaire des initiatives multiples mais qui en dehors d'un prisme éthique et très local font que les dispositifs restent difficile à passer à l'échelle.
Les constats et des convictions:
Les schémas de Geels impliquent un processus vertical qui va des innovations de niches vers la tendance pour mettre en place les transitions.
Aujourd'hui, ce processus fonctionne mal parce le passage à la tendance peut se faire sans passer l'établissement d'un régime, en fonction des moyens de communications et de lobbying de porteurs de tendances.
En ce sens, les innovations de niches ont de plus en plus à imprégner la norme et les régimes et les tendances, parce qu'elles s'appuient peu sur ce processus, restent éphémères, fragiles et n'impregnent pas non plus les normes et les régimes.
Pour répondre à ces constats/convictions dans un design systémique, il s'agit de rendre visible et lisible les actions déjà en place et les faire résonner entre elles: entre paysages transformés, paysages qui necessiterait une transition, usagers et acteurs des paysages. Ce rendu lisible peut prendre la forme d'un média cartographique intercative et collaboratif impliquant les actions, les acteurs de paysages pour constituer un réseau du bien vivre.
Ce réseau peut évoluer également en groupes de reflexion (loobying, Think Tank ? pour travailler la question du paysage par la tendance)